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  • : Ce blog est un relais amazigh, berbère, il met à disposition des internautes les nouveautés des autres sites amazighs (berbères) tout en respectant la propriété intellectuelle.
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1 avril 2006 6 01 /04 /avril /2006 22:55

INTTAGEN
Rebonds / Opinion

Sur Mondeberbere.com

Inttagen yega yan usays innurzêmen I kraygat yan iran ad yara kra n umagrad f mad igguran n ineghmsien izdin d tmazight. Ara yat agh-d s tansa yad : rebonds@mondeberbere.com
Rebonds est un nouvel espace ouvert à toute personne souhaitant rebondir, sous forme d'article, sur l'actualité amazighe.
Envoyez vos articles (en format Word, html ou texte) à rebonds@mondeberbere.com.
Opinion is opened to anyone willing to comment on the current Amazigh news. Please send your articles (in Word, HTML or text) to rebonds@mondeberbere.com.

Maroc : Attajdid attente à l'amazighité, Lahsen Oulhadj (02/2006)
Presse marocaine : amazighophobie et autres sottises, Lahsen Oulhadj (01/2006)
Amazighité : réalité et défis, Aïcha Aït Berri (11/2005)
Tamazight: Une ou plusieurs langues ?, Boualem Aourane (04/2005)
La laïcité, un choix nécessaire pour la construction d’un État démocratique au Maroc, Moha Arehal (03/2005)
Code de la famille. Partis démocrates : effacement ou lâcheté., Muhend Loukad, Mhand Amarouche (09/2004)
Quand un intellectuel a peur de son patronyme, M. Boudhan (04/2004)

Polémique autour du film Les Yeux secs

Les Amazighes aussi iront sur Mars, M. Chafik (09/05/2004)
Pour une école au service de l’humanité, M. Demnati (03/04/2004)
La Kabylie votera, M. Amarouche et M. Loukad (11/03/2004)
Standardisation de la langue tamazight, A. Benyounès (12/11/2003)
Empêcher le PJD d’endommager la démocratie, A. Aassid (31/05/2003)
Berbères, libres et fiers de l'être, B. Lounès (27/06/2003)
La cause amazighe entre la culture et le politique, A. Benyounès (25/06//2003)
La gaffe de M. Chirac, M. Mounib (8/2/2003)
Réflexions sur la graphie pour la langue amazighe, Dr A. H. Ousadden (23/12/2002)
L’écriture de tamazight entre le marteau des linguistes et l’enclume des politiques, Lahbib Fouad (10/2002)
Sobre el nombre de canarias y sus interpretaciones, Antonio Cubillo Ferreira (10/2002)
À Canal +, à l’attention de M. Gérard Depardieu, Rezki Issiakhem (05/2002)
S’affranchir de la tutelle des dirigeants, Mhand Amarouche (04/2002)
Lettre aux médias français, Rezki Issiakhem (04/2002)
La Kabylie vivra avec l'Algérie, Mohand Loukad (04/2002)
Enfin un festival pour la chanson amazighe..., Rachid Ridouane Ziri (02/2002)
L’amazighité : une marocanité spoliée d’un Maroc pluriel, Abdelatif Agnouche (12/2001)
La mission impossible, Lahbib Fouad (12/2001)
Walid Mimun... Dominique Boël (08/2001)
Un parti politique berbère au Maroc, le piège excitant ? Rachid Ridouane Ziri (06/2001)
Tadmaït, Mohamed Younsi (06/2001) / Tadmaït, Idir Bayou s'en est allé
Témoin d’une discrimination qui perdure, Eyyur (05/2001)
Plaidoyer pour l'instauration d'un état algérien fédéral, Mohamed Younsi (05/2001)
Rays Ben Yahia, Abdellah Aït Tkassit (05/2001)
Statut de la langue amazighe : Comment en faire une langue de pain ?, par M. O. Medjeber, quotidien La Liberté (Algérie) (03/2001)
Un livre par mois en langue amazighe, par M. O. Medjeber, quotidien La Liberté (Algérie) (02/2001)
Tamazight d Imazighen assa, n Anir (01/2001)
Que veulent les Amazighs, par Rachid Ridouane Ziri (12/2000)
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1 avril 2006 6 01 /04 /avril /2006 22:45

Presse marocaine : amazighophobie et autres sottises

Lahsen Oulhadj

C’est peu dire que la presse marocaine s’est encroûtée, ad vitam aeternam, dans son chauvinisme arabiste avec son lot de racisme, de haine, d’exclusion… C’est tellement le cas qu’elle ne s’embarrasse même plus d’agonir, au grand jour, effrontément, une bonne majorité de Marocains qui ne partage pas son idéologie à la petite semaine. Rappelez-vous, c’était Libération qui a ouvert le bal ! Depuis, il semble qu’elle a fait des émules. Car Assabah lui a emboîté le pas et s’est joint, avec fracas, à cette procession médiatiquement malsaine et moralement inexcusable, qui prend de plus en plus les allures d’une cabale foncièrement anti-amazighe.

En plus d’avoir fait litière du respect tout court, dans sa plate signification, il a révélé sa face hideuse d’un canard qui n’a aucun scrupule à faire dans l’amazighophobie la plus abjecte, la plus condamnable. Un vrai scandale qui n’émeut vraiment pas grand monde. Au Maroc, l’Amazigh est toujours une tête de Turc qui accuse les coups, violents les uns que les autres, dans un calme plus qu’olympien. Il faut dire que, à force de vivre ainsi, c’est devenu tellement normal, tellement intériorisé qu’un simple frétillement désapprobateur, aussi insignifiant soit-il, est inconcevable, inimaginable, voire impossible.

Mais, il appert que c’est en train de changer, clopin-clopant. Le rejet de la passivité est, paraît-il, en marche. Ce qui n’est pas sans abasourdir – c’est le mot – tous ces impérieux « paternalistes », engoncés risiblement dans leur futile superbe. C’est vrai qu’ils avaient pris la mauvaise habitude de ne pas entendre les hurlements aphones de l’Amazigh. Ne dit-on pas que les grandes douleurs sont toujours tues ?

Or, c’est un truisme que de dire que cette attitude n’est nullement payante. Commence-t-on alors à percevoir ici et là des chuchotements timides, mais ô combien salutaires ! Le recouvrement de la parole par les sans-voix et les dominés devant l’Éternel n’est plus une vue de l’esprit; elle est concrète, réelle et définitivement mise en branle. Plaise à Dieu que cela continue !

Ainsi, bon nombre d’Amazighs ont été plus que choqués – et l’ont fait savoir – qu’Assabah ouvre grandes ouvertes ses colonnes à un énergumène fascisant, un Cassandre répulsif, un petit nazillon en mal de cause, répondant au nom de Khachim. Et ce, pour braire une suite infinie de sottises amazighophobes et même de menacer, chez eux, les Amazighs des pires calamités et autres cataclysmes naturels, juste parce qu’ils continuent d’être eux-mêmes. Quelle outrecuidance !

D’origine libyenne et nourri des mêmes conneries qui ont enfanté son mentor mégalomane de Kaddafi, cet enthnocentriste forcené, aux connaissances pour le moins biscornues, a sévi au Maroc à l’emporte-pièce, comme bon lui semble. Chez nous, et c’est le moins qu’on puisse dire, on a un sens aigu de l’hospitalité, même si elle peut nous couvrir d’opprobre et de déshonneur. Ce dont on n’a cure. Passons !

Si les plumitifs d’Assabah ont savouré orgasmiquement ses propos nauséabonds, voilà qu’il se fait inviter, si absurde que cela puisse être, par je ne sais plus quelle université marocaine pour y éructer ses inepties et ses insanités passibles, sous d’autres cieux, d’une condamnation judiciaire. Sa place – et là nous sommes encore gentils –, c’est, au mieux, dans un asile de psychopathes et, au pire, dans une prison glauque. Mais, soyons sérieux, jamais dans un amphi à moins qu’il veuille bien le balayer, et encore! Mais que vous voulez-vous, nous sommes dans ce pays on ne peut plus déroutant, le Maroc.

Inviter, peut-être même au frais du contribuable amazigh, un tel fieffé tartufe qui a le culot, pour nous impressionner chez nous, d’exhiber ses muscles flasques et glapir ses âneries est nullement une surprise. Dans ce pays, tous les contempteurs de l’amazighité se voient, contre toute logique, hisser sur le pavois et même présenter comme des sommités intellectuelles. N’eussent été les a priori et autres préjugés anti-arabes, ils auraient déjà raflé tous les prix Nobel… de la bêtise.

Supposons qu’un journal amazigh ait accueilli un personnage de la trempe de ce sinistre Khachim, mais en anti-arabe. Il ne faut même pas penser au lever de bouclier que cela aurait provoqué. Pour moins que cela, les descendants des protégés « yalitifistes » et autres gardiens du temple makhzenien avaient déjà fait, à maintes reprises, des appels de pied à tous les tortionnaires locaux, encore en service ou en chômage technique, pour sévir contre les quelques Amazighs qui osent, non sans au préalable se confondre en mille excuses, mettre les mots sur les torts et autres injustices, parfois millénaires, dont ils sont victimes. En effet, irascibles et lunatiques que sont ces suzerains des temps modernes, il ne faut pas trop les brusquer dans leurs donjons cosy de Rabat et Casablanca. On ne sait jamais, ils peuvent réagir violemment et au quart de tour!

Que les Amazighs, surtout ceux qui ont la conscience à fleur de peau et qui se rappellent encore la liberté, boycottent définitivement ce torchon et ses semblables et que les bouchers, comme à l’accoutumée, s’en donnent à cœur joie en y emballant les côtelettes et autres abats pour le plus grand bonheur de leur aimable clientèle ! En effet, la médiocrité ne sert qu’à cela.


Source: www.mondeberbere.com

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19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 20:14
Les interdictions des prénoms berbères se suivent et se ressemblent. Pour les préposés à l'Etat civil, les prénoms amazighs ne sont pas marocains. La preuve : ils ne figurent pas sur la liste des prénoms autorisés. Une liste de l'ère Basri.

On croyait ce temps révolu, mais les prénoms amazighs restent encore interdits dans plusieurs régions du Maroc. Omar Derouich, ce citoyen de la ville de Goulmima, l'a appris à ses dépens. Le préposé à l'Etat civil de la ville d'Errachidia lui a refusé le droit de donner un prénom amazigh à son nouveau-né. « Le matin du 10 février dernier, je me suis présenté au bureau d'Errachidia pour inscrire le nom de mon bébé. Le responsable régional a refusé le nom "Amazigh" que j'avais choisi, arguant du fait que c'est un nom qui ne fait pas partie des listes officielles. Après, il m'a envoyé voir l'inspecteur régional de l'Etat civil. Celui-ci a jugé nécessaire de soumettre mon cas à la commission supérieure de l'Etat civil à Rabat. Je suis encore dans l'attente d'une réponse », raconte M. Derouich. Pour ce citoyen marocain et militant amazigh, il n'est pas question de faire marche arrière. « Je compte poursuivre la défense de ce nom authentiquement marocain. Et je chercherai toutes les voies légales pour obtenir ce droit. Ce n'est pas normal de parler d'ouverture démocratique et de subir en même temps une telle discrimination », fustige le père d'Amazigh.
Eternelle dichotomie
Pourtant, au sein de l'IRCAM (Institut royal de la culture amazighe), on est surpris de la persistance de telles pratiques. « Dans les manuels scolaires comme dans les supports didactiques, les contes par exemple, on ne trouve pratiquement que des prénoms amazighs. Le but est de sensibiliser les Berbères sur leur patrimoine. Et les prénoms amazighs sont une partie intégrante de ce patrimoine », explique Mme Meriem Demnati, responsable des manuels scolaires au sein de l'IRCAM. L'objectif avoué de cette démarche est de faire tomber un tabou, décomplexer toute une population et revaloriser une histoire aussi vieille que l'Afrique du Nord. Comment alors expliquer cette dichotomie entre le travail des cadres de l'IRCAM et une circulaire qui fait encore office de loi ? « Nous avons fait part au représentant du ministère de l'Intérieur de cette préoccupation. Il nous a assuré de trouver une solution à ce problème. Nous avons l'impression que ce sont les fonctionnaires de l'Etat civil qui font de la résistance. Nous allons encore une fois remettre cette question à l'ordre du jour lors du prochain conseil d'administration », assure Mme Demnati. Pour l'histoire, en 1950, une commission spéciale a été créée pour statuer sur les questions de l'Etat civil. Elle était formée d'un historien et de représentants du ministère de l'Intérieur et de la Justice. Un dahir verra le jour le 8 mars de la même année. En substance, les demandeurs d'une inscription sur l'Etat civil doivent « choisir un prénom convenable qui ne soit pas étranger, risible, qu'il ne porte pas atteinte à la bonne moralité ou à l'ordre public et qu'il soit typiquement marocain ». Les choses vont en rester là jusqu'en 1995.
En cette année, l'ex-ministre de l'Intérieur va publier un communiqué à l'attention des walis des villes pour limiter la liste des prénoms autorisés. Celle-ci entre en vigueur en 1997. Quelques prénoms amazighs y figurent mais pas tous. Et c'est l'historien Abdelwahab Benmansour qui cautionne ce travail-là. La circulaire et la liste ne vont pas passer inaperçues. Les associations amazighs vont crier au racisme. Les associations des droits de l'Homme, AMDH et OMDH, vont, à travers leurs communiqués, s'élever contre la circulaire. Même le département d'Etat américain y mettra son grain de sel en notant le caractère discriminatoire de cette décision administrative décidée par l'ex-ministre de l'Intérieur.
Idir, Tanaruz, Numidia…
Les affaires vont alors se multiplier.
Quelques-unes deviendront célèbres. Comme le cas de l'enfant Amassin de la ville de Tata. Entre l'arrondissement, le Tribunal de première instance et la Cour d'appel, Amassin, en référence à un roi amazigh de l'antiquité, va attendre cinq ans avant de pouvoir bénéficier de son droit de porter ce prénom. Idem pour Itri, Massinssa, Idir, Anir ou Tunaruz. Le prétexte des autorités reste le même : ces prénoms ne sont pas arabes et ne sont pas marocains. Une aberration. « Au sein de l'IRCAM, nous nous sommes investis dans deux cas, celui de Numidia et Anir. Nous avons pu, après avoir démontré la marocanité des deux prénoms, les rajouter sur la liste des prénoms autorisés. Le problème, c'est que dans bien des cas, des citoyens amazighs se rabattent sur d'autres prénoms à cause de la lenteur des procédures administratives », avoue Mme Demnati. « Le Maroc n'a pas le droit de faire perdurer cette situation, pour la simple raison qu'il a bel et bien ratifié les traités internationaux. Notamment celui qui permet d'utiliser des prénoms puisés dans les langues maternelles », souligne ce militant amazigh. Cette interdiction reste aléatoire. Pour preuve : des prénoms qui sont refusés dans des régions sont avalisés dans d'autres. Cela dépend essentiellement de l'attitude des préposés des bureaux de l'Etat civil. Un pouvoir que seul la suppression de la fameuse circulaire peut annuler.

Hicham Houdaïfa
source: Le journal Hebdo
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18 mars 2006 6 18 /03 /mars /2006 16:06
 

Casablanca accueille du 8 au 14 mai 2006 le premier festival professionnel de théâtre amazighe

Initié par L’Espace Tafoukt en partenariat avec la société Aghlal de production audiovisuelle, le festival est ouvert à toutes les troupes de théâtre professionnel de langue amazigh au Maroc et à l’étranger. Des prix intéressants seront attribués aux spectacles gagnants dans différentes catégories de création. En plus des spectacles, le programme prévoit des conférences et tables rondes, des ateliers de formation au théâtre, expositions et soirées artistiques dans différents espaces et lieux de spectacles de la métropole. Premier Festival de théâtre amazigh de Casablanca Du 8 au 14 mai 2006


Source : Wanadoo.ma

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25 janvier 2006 3 25 /01 /janvier /2006 18:24

Yennayer 2956 avec l'association Tiwizi59:

- Couscous

- Musique berbère du sud du Maroc mais également du Jazz berbère (de 19h à 2h du matin le samedi 28 janvier 2006) avec les troupes Tamunt et Easy Way.

- Poésie, exposition, ...

Uniquement sur reservation ( tél 06 64 34 26 67 ou par mail tiwizi59@yahoo.fr)

Source: http://www.tiwizi59.over-blog.com/

 

 

 

 

 

 

 

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18 janvier 2006 3 18 /01 /janvier /2006 12:07
 
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Apres Issy-les moulineaux, la Mairie de Paris, le Trocadéro, ce fut au tour d’Epinay sur Seine de baigner dans l’ambiance de la culture amazighe.

Auprès du drapeau Bleu, Blanc, Rouge, s’élevait ce drapeau Amazigh, porteur de tant d’espoir, tant de rêves et tant de fierté.
De son bleu, découlait la sérénité de la Méditerranée ; de son vert toute la beauté de la flore, conjuguée dans les belles tenues traditionnelles Kabyles ; Et de son jaune la chaleur des dunes qui baignait la salle dans une ambiance chaleureuse fraternelle.

Cet évènement, sur l’initiative de la Coordination des Berbères d’Epinay sur Seine, jeune association amazighe, en partenariat avec la CBF (Coordination des Berbères de France) et TamaynutFrance, marque non seulement une volonté de partenariat qui commence à se perpétuer, mais aussi et surtout un souhait de célébration conjointe entre la composante Kabyle et la composante chleuhe.

Ce partenariat participe et à la fois à la découverte mutuelle des deux composantes respectives, l’une l’autre, mais accroît aussi la richesse culturelle de l’évènement, et donc un plus grand attrait.

Les inconditionnels volontaires occupaient déjà la salle depuis tôt le matin, il convient de ce fait de leur rendre hommage, car c’est avec beaucoup de conviction, de professionnalisme et de zèle qu’ils ont accompli leurs taches respectives.

La matinée aura été marquée par les répétitions des groupes et tous les réglages qui s’imposaient afin de garantir une production on ne peut plus agréable.

Quant aux responsables organisateurs, ils ont pris soin de mettre les dernières touches et régler les derniers détails de tout le déroulement des concerts, conscience professionnelle oblige.

Face à un public à majorité kabyle, Itrane N Bariz, ont ouvert le bal pour le bonheur de la salle, l’animation étant assurée par Farouk pour le kabyle et Anas Bakrim pour Tachelhite.

Puis ce fut au Maire d’Epinay, Hervé Chevreau, de prendre la parole, de manifester sa joie, quant à cet évènement et son souhait de voir les amazighs fêter chaque année Yennayer, mais surtout leur adresse une invitation officielle au palais de la Mairie d’Epinay pour le 30 janvier.

Le Président de la CBF, Mustapha Saadi, quant à lui, a manifesté sa joie de voir enfin la possibilité de célébrer les fêtes amazighes, mais surtout en mettant en exergue les revendications, légitimes, de tous imazighens de France. Ces derniers, dont les valeurs, souligne-t-il, sont compatibles avec celles de la République et s’inscrivent dans le respect total des principes fondateurs de la République Française.

A noter l’intervention de Lahcen Ouzaite président de TamaynutFrance qui a adressé tous ses remerciements au public.

La fête a repris son plein avec Isnayen, de Tinghir (Ouarzazate), style particulier découvert et surtout apprécié par nos amis kabyles.

On notera particulièrement la présentation, de notre amie Aicha (Tatamargue), du plat traditionnel marquant, surtout dans le Sud du Maroc, l’occasion de Yennayer. Tagwlla, préparée par notre ami, Ahmed Boukcheb, membre de TamaynutFrance, qui a fait le tour de la salle, afin de permettre à ceux/ celles qui souhaitaient goûter ce plat particulier garni de la fameuse huile d’argane.

Lakhdar suivi de Ferhat ont assuré le reste de la soirée pour le plus grand plaisir d’une salle conquise.

Le public aura apprécier un évènement riche et varié, en célébrant entre amazighs yennayer, une célébration avec laquelle il faudra désormais compter.


Takfarinas et Tatamarg.
Source: Amazighweb.com
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16 janvier 2006 1 16 /01 /janvier /2006 23:43
ASSOCIATION ASAYS:

      A
zul à tous !

L’association ASAYS organise Dimanche 22 janvier à 14H 30 une manifestation culturelle et citoyenne pour célébrer Yennayer :

Avec au programme :

- Izenzarne Chamekh
-  Mejja
-  Orchestre salam
-  Des animations et de nombreux divertissements autour de la civilisation berbère.
-  Et, comme d’habitude, une bonne dose de convivialité dans un esprit festif, convivial et fraternel.

Lieu :

Berbère Télévision 1, ter rue du Marais 93 100 Montreuil

Tarif : 12 euros Adhérents : 10 euros

Une partie des recettes ira pour le financement d’un projet humanitaire au Maroc. Votre présence est signe de soutien et de solidarité !

Réservation et infos : asays@asays.com
Source: www.asays.com

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13 janvier 2006 5 13 /01 /janvier /2006 20:59
Rassemblement au Trocadéro de Paris le samedi 14 janvier 2006, de 17h à 19h


CELEBRATION DE YENNAYER
Yennayer, chaque 12 janvier marque le début de la nouvelle année pour les Berbères.
Comment célébrer Yennayer tous ensemble en rendant visible la présence des Berbères de France ?

Redonner des repères culturels, se rattacher à son histoire et à la mémoire des siens c’est le sens de toutes les célébrations. Aujourd’hui les familles marquent Yennayer par un repas de famille autour du traditionnel couscous, et les associations organisent des manifestations les week-ends qui précèdent et suivent le 12 janvier, jusqu’à la fin janvier.

La Coordination des Berbères de France prend l’initiative de faire de Yennayer un moment de visibilité pour les Berbères de France et du monde entier.

Ainsi les franco-berbères sont appelés, à se retrouver le samedi 14 janvier 2006, de 17h à 19h au Trocadéro de Paris, venir allumer des lampions bleus, verts et jaunes aux couleurs de notre culture pour le Nouvel An berbère.

Les Berbères appellent leurs amis à les rejoindre dans cet acte de fraternité et de partage.

Si vous n’êtes pas à Paris ce jour-là, allumez à vos fenêtres vos lampions en témoignage de votre joie de fêter Yennayer.

Source:cbf.fr

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11 janvier 2006 3 11 /01 /janvier /2006 12:32
Agenda :
Samedi 21 janvier 2006 à Mulhouse
Massa Bouchafa en concert
L’Association de Culture Berbère 68 vous invite à fêter Yennayer 2956 à Mulhouse avec un concert de Massa Bouchafa, le samedi 21 janvier (...)

Samedi 14 janvier 2006
Yennayer à Montpellier
L’Association franco-berbère de Montpellier célèbrera le nouvel an berbère 2956

Samedi 14 janvier 2006
Yennayer 2956 à Roubaix
L’Association Convergences prépare la célèbration du nouvel an à Roubaix.

Samedi 21 janvier 2006
Yennayer 2956 à Marseille

Samedi 14 janvier 2006
Yennayer à Saint-Etienne

Samedi 14 janvier 2006
Yennayer à Bochum (Allemagne)

Samedi 14 janvier 2006
L’association Amazigh de Grenoble-St-Martin d’Hères fêtera Yennayer 2956

Samedi 21 janvier 2006
Yennayer à Moyeuvre-Grande

Etudiants Berbères de France
" Les jeunes : comment réagir face aux discriminations ? "

Le lundi 28 novembre 2005 à Paris
Conférences sur la culture berbère en
France à l’INED

Source:CBF.FR
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11 janvier 2006 3 11 /01 /janvier /2006 12:25
 
Bertrand DELANOE accueille la communauté berbère de Paris à l’occasion de Yennayer2956                      
                           


Yennayer 2956 connaîtra une célébration bien particulière cette année à Paris.

En effet, non seulement les Berbères se rassembleront le samedi 14 janvier 2006, de 16h30 à 19h sur l’esplanade du Trocadéro, mais ils seront aussi reçus lla veille par le maire de Paris, Bertrand Delanoë, dans les salons de l’Hôtel de Ville.

Cette remarquable émergence de la communauté berbère parisienne est le fruit du travail accompli depuis trois ans par la Coordination des Berbères de France, qui n’a cessé de demander aux pouvoirs publics et à toutes les institutions de prendre en considération le fait berbère dans notre société.



Grâce à un travail pédagogique et à la démonstration faite que les Berbères savent aussi s’organiser et faite entendre leur voix, les responsables politiques ont fini par admettre qu’il était temps que les Berbères de France bénéficient d’une reconnaissance et d’une visibilité légitime dans l’espace public, et soient considérés comme des citoyens à part entière.



La réception à l’Hôtel de Ville, organisée en partenariat avec Berbère Télévision, réunira les Berbères parisiens dans leur diversité. Ils seront de toutes catégories professionnelles, hommes et femmes, de tous âges, et de toutes sensibilités, et apporteront en partage leurs richesses, leur culture et leur histoire singulière.



Faut-il rappeler que les Berbères sont pour beaucoup dans la construction de Paris, dans ses dimensions humaines, commerciales, culturelles et sociales ? Dès la fin du dernier siècle, ils sont venus s’y installer nombreux, et continuent à y vivre pleinement parisiens combien même toujours discrets.
Une discrétion légendaire symptôme des dominations successives qu’ils ont subis et manifestation individuelle et collective d’une histoire violente et négatrice de leur identité.



Qui se rappelle du rôle des ouvriers kabyles dans la construction du métro parisien ?

Qui se rappelle de leurs manifestations pour la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes et contre l’avilissement et l’oppression coloniale en Algérie et au Maroc ?
Qui se rappelle du rôle des familles kabyles pour recevoir et cacher des citoyens français juifs à Paris pendant la seconde guerre mondiale ?
Oui les Berbères ont été de tous ces combats des hommes et des femmes pour la promotion des valeurs de liberté et de vie, et pour la défense de la morale républicaine.



Mais les Berbères de Paris sont aussi aujourd’hui des combats citoyens de ce pays pour assurer un avenir meilleur à leurs enfants et à toutes les composantes de notre société, pour permettre à tous de les connaître et d’être fier de leurs apports.



Il est donc temps que Paris se souvienne qu’en son sein, des hommes et des femmes ainsi que leurs enfants aspirent à de la reconnaissance et au respect de leur dignité.
Cela doit passer par la célébration de ce moment fort qu’est le nouvel an berbère dans ce lieu symbolique qu’est l’Hôtel de Ville, ouvert à tous et à toutes, et donc aussi aux Berbères de Paris.


Cela doit passer aussi par l’inscription de la culture berbère dans cette ville, dans ses salles de spectacles, dans ses écoles, dans ses rues, et tous ces lieux qui peuvent faire vivre des identités, des mémoires, et des cultures, expressions de la diversité et de la tolérance.

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